bah ça y est les zenfants, tout est fini.
Le lycée plus jamais.
On espère, et en même temps c'est étrange parce qu'on irait tête baissée vers une autre semaine de cours. ensemble. avec nos profs les plus chiants, mais ensemble.
Mais il y a nos petites soirées, qui se compte bien sur parce que ce n'est pas évident de se réunir, de ne pas être sur Bourges, ou de ne pas avoir le permis, ou encore de ne pas pouvoir boire.
Si elles sont rares elles n'en sont que plus agréable, même si ce ne serait pas tout a faire ce que je souhaiterais, c'est déjà délicieux.
Bon la fête de la musique, c'est vrai, ça aide!
Alors on se traine aux Préfichauds (pfff l'orthographe, j'en sais vraiment rien!) pour manger, ha oui parce que on acheté nos mets à marché plus (les superettes, moi je leur di fUck!) siouplait quoi!
On partage des dragibus sur la scène que l'on a investi dans le parc silencieux, avant d'aller s'installer à la terrasse
du Murrayfield (hey scottish!) non sans avoir braver la foule dense amassée là, extasiée devant un groupe de jazz amateur (tsss...franchement ces bobos!).
Mais biensur c'était avant le drame...avant que miss Jenny ne s'emporte dans un récit endiablé et, d'un coup de coude malencontreux, ne renverse la moitié de son demi (pêche mdr) sur son pull et jean (et allez, un euro!)! Mais heureusement, Laurent et son pantalon blanc ne recevront aucune goutte, ce qu'il valait mieux, puisque c'était lui le genckleman qui nous avait payé la tournée mdr, et aussi, ne l'oublions pas, rapporté des schtroumphs (et du chocolat mais là...on ne l'a pas vu! mdr)
Alors oui, nous sommes un peu youyous, ce qui ne nous a pas empêché de nous réjouir de cette mirifique musique irlandaise dans la rue moyenne, même si personne n'a voulu danser avec moi sur Louise Attaque, je vous pardonne bande de niouks mdr! N'oublions pas les percu, un peu plus haut, qui nous a transporté en Afrique...enfin certain(e)s plus que d'autres!
La musique ambiante enrobait (dieux merci) l'agitation habituelle des soulards de bac à sable du parvis, endroit O combien pathétique dès que la nuit tombe!
Aux détours des rues et des bars nous errons sans but mais heureux, et c'est déjà ça!
Une valse avec Jenny pendant que Pauline s'entretien avec une pervenche mdr!
Un long racontage de vie avec la première dans le dédale des pavets avant de retrouver les gars un peu morts au...Murray! (mon dieu, que c'est original!)
Bref, certains week end promettent des fins agitées mais bien gaies, alors je ne pense pas trop à la suite, juste au présent, même si c'est pas toujours évident!
Je vous embrasse, je vous aime!